Mesures sanitaires : bas les masques, enfin presque

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En raison de l'amélioration de la situation épidémique et de la baisse notable de la pression qui pèse sur l’hôpital, le Premier ministre, Jean Castex, a annoncé, le 3 mars, un assouplissement notable concernant le passe sanitaire et le port du masque. Une mesure effective depuis le 14 mars et qui touche aussi les enceintes sportives.  

Depuis le 14 mars, le passe vaccinal n’est plus exigible pour accéder à l'ensemble des lieux où il l’était jusqu’à présent, notamment les gymnases, les salles de sport et de spectacle. Autant de sites qui accueillent des entraînements mais aussi des réunions de boxe.

Quant au port du masque, déjà facultatif, depuis le 28 février, dans les endroits soumis au passe vaccinal, il n’est désormais plus obligatoire dans les lieux clos, sauf dans les transports collectifs et les établissements de santé. Ce qui signifie que, là encore, il ne revêt plus un caractère impératif dans lesdits gymnases et salles de sport ou de spectacle.

Depuis le 14 mars, toute personne peut donc se rendre dans une salle d’entraînement ou à une réunion de boxe même si elle ne détient pas le passe vaccinal. Les compétitions battent d’ailleurs leur plein actuellement depuis l’allègement des mesures sanitaires. Par ailleurs, les protocoles mis en place par la Fédération suite aux décisions sanitaires gouvernementales ne sont donc plus d’actualité. En revanche, il est plus que jamais obligatoire, lorsque l’on pratique la discipline, de se licencier auprès de son club.

Ne pas passer du tout au rien

Dans les établissements scolaires aussi, le port du masque en intérieur pour tous les élèves et les personnels n’est plus requis. Le protocole sanitaire passe au niveau 1 (niveau vert) dans l'ensemble des écoles primaires, des collèges et des lycées, ce qui acte notamment la fin des restrictions à la pratique des activités physiques et sportives et donc le retour de la pratique des sports de contact en intérieur, y compris dans le temps périscolaire.

Toutefois, le bon sens autant que le civisme commandent de ne pas passer du tout au rien. De fait, le masque demeure recommandé pour les personnes positives au Covid durant les sept jours qui suivent leur période d'isolement, les cas contacts, les personnes symptomatiques et, plus largement, les personnes à risque. C’est au prix du maintien d’un minimum de vigilance que la vie économique, sociale et… pugilistique du pays pourront retrouver leur cours normal tant attendu.

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