Les finales des championnats de France amateur élites hommes et femmes se déroulent ce samedi à Boulazac Isle Manoire. Retrouvez ci-dessous les résultats en direct.

-54 kg : Melissa Bounoua (Action Boxe) bat Cyndelle Bachelet (Noble Art de Rouen) - 4/1

-57 kg : Sthélyne Grosy (Boxing Lyon United) bat Marianne D'Antuono (Boxing Athletic Paris 9) - 5/0

-63 kg : Lisa Nouiceur (Club ATH Mun de Bordeaux) bat Imen Boucetta (El Baja Boxing Académie de Tours) - 5/0

-75 kg : Solana Ayivi (NSM Boxing Club) bat Tallya Brillaux (Red Star Champigny) - 4/1

-66 kg : Sisley Tatoguem Wabo (Ring Paris 14e) bat Leana Khalili (US Fontenaysienne) - 5/0

-70 kg : Shannon Touré (Le Labo) bat Andréa Badin (Noble Art Boxing Vulpillien) - 5/0

-60 kg : Ashley Rabereau (Blagnac Boxing Club) bat Faesia Idan (Ring Paris 14e) - 3/2

-52 kg : Rim Bennama (Blagnac Boxing Club) bat Kaelya Mopin (Boxing Club Garges) - 5/0

-50 kg : Mayssoun Bourega (Bron Boxing Academy) bat Maloway Canlers (Royan Océan Club Boxe) - 5/0

-48 kg : Gloria D'Almeida (Boxing Club Garges) bat Florence Foudrain (Ring Paris 14e) - 5/0

-92 kg : Kévin Kuadjovi (USSAP) bat Sami Diguerher (Tregor Boxing) - 4/1

-86 kg : Abdoulaye Traoré (Bobigny B93) bat Kandoro Soukouna (Entente Sportive de Vitry sur Seine) - 3/2

-60 kg : Sandro Spica (Boxing Club La Stella) bat Yacine Ettouir (Association Sportive Clermont) - 5/0

-80 kg : Yojerlin Cesar (Boxing Lyon United) bat Salim Benhebba (Dule Choc Power) - 5/0

-63,5 kg : Djamel Djemmal (ABC Roubaisien) bat Mohamed Ounai (Boxing Club Ebam) - 5/0

-57 kg : Selim Bouaita (Boxing Sports Louvroil) bat Ryan Bieou (Boxing Club Villeneuve-Ablon) - 4/1

-54 kg : Bilal Benali (US Bergeracoise) bat Roulio Gaucher (RO Saint-Sébastien sur Loire) - 5/0

+ 92 kg : Georcy Taty Bouanga (Fight Industrie) bat Moustapha Diop (USSAP Boxe) - 4/1

-75 kg : Hassana El Qadmi (Boxing Club Behren) bat Bambo Guirassy (Lille Ring United) - 3/2

-71 kg : Ramzy Mekhalef (Boxing Club Oullinois) bat Saad Anki (Le Vaisseau Fameck) - 4/1

-67 kg : Ismaël Lamghari El Kossori (Bobigny Boxing 93) bat Kévin Aveline (Boxoum) - 4/1

-51 kg : Idir Boubakar Wauters (Boxing Sports Louvroil) bat Benjamin De Neiva (Boxing Académie Brive) - 5/0

Marcel Cerdan Junior s’est éteint ce vendredi matin à l'EHPAD d'Issy-les-Moulineaux, il avait 81 ans.

Le fils ainé de la légende des poids moyens n’était pas destiné à devenir boxeur car son champion de père ne souhaitait pas que ses enfants pratiquent la boxe. Originaire de Casablanca où il vivait avec sa mère et ses fréres, il vint à Paris en 1958 pour suivre ses études. Hébergé chez Edith Piaf, Marcel junior débuta sa carrière amateur en 1960 à la salle Wagram de Paris. Après un honnête parcours amateur, il passa dans les rangs professionnels quatre ans plus tard où il disputa 63 combats (56 victoires dont 18 avant la limite pour 4 défaites et 3 matchs nuls). Excellent technicien et grande vedette de la boxe sauf pour certains admirateurs nostalgique du père qui ne pouvait s’empêcher de le comparer à son célèbre géniteur.

Photo ©Bernard Papon - Presse Sports

Marcel Cerdan Jr se produisit au mythique Madison Square Garden en 1970 et s’il s’inclina aux points face au Canadien Donato Paduano, il constata avec une fierté et émotion que le nom de celui qu’il adulait tant était encore très présent dans la mémoire des fans New-Yorkais. En 1970, il échoua lors de sa seule tentative à devenir champion de France des poids welters devant Robert Gallois, un très bon boxeur à qui il avait infligé sa première défaite cinq ans auparavant. Il se retira des rings avant d’effectuer un retour pour un seul combat trois ans plus tard.

Marcel Cerdan Jr consacra énormément d’énergie à faire vivre le souvenir d’un père qu’il vénérait. Quand Patrick Dewaere mit fin à ses jours en 1982, Claude Lelouch fit appel à lui pour tenir le rôle de son père dans le film Edith et Marcel qui retraçait l’histoire d’amour entre les deux stars.

Le comité directeur de la Fédération Française de Boxe et son Président M. Dominique Nato, présentent leurs sincères condoléances à la famille et aux amis de Marcel Cerdan Junior.

Ce vendredi soir en Italie, Mohamed Kani (23 v, 5 d) a perdu son titre EBU Silver des poids super-légers en s'inclinant par décision partagée (113-115, 113-115, 116-115) devant l'Italien Charlemagne Metonyekpon (16 v, 1 d).

Le challenger se portait à l’offensive d’entrée, s’inspirant probablement de son compatriote Pietro Rossetti qui avait détrôné Mohamed Kani de son titre EU des poids welters il y a deux ans dans la capitale de l’Hérault. Le Montpelliérain ne tombait pas dans le piège et il esquivait les frappes avant de répliquer avec son bras arrière.

L’Italien persistait au 2e round, il martelait les flancs du Français avec ses crochets des deux mains, le champion ne desserrait pas sa garde haute sauf pour remiser avec son direct du gauche à la face avant de doubler son crochet droit. Mohamed Kani dominait les débats, sa technique supérieure lui permettait de maitriser un adversaire offensif mais brouillon. Le Français contrait avec une certaine aisance les velléités de son adversaire quand il ne le mettait pas dans le vent par une de ses flamboyantes esquives. Le premier tiers du combat était à l’avantage du tenant du titre, Charlemagne Metonyekpon ne trouvait pas la solution, il était même dominé à mi-distance qui constitue habituellement son terrain de prédilection. Malheureusement pour Mohamed Kani, il était ouvert au front à la fin du 4e round, juste au-dessus de l’arcade gauche, suite à un choc de têtes.

Le Français redoublait d’efforts à la reprise suivante en acceptant la confrontation de près, sa blessure saignait et l’arbitre demandait l’avis du médecin. Dès lors, Mohamed Kani semblait moins serein, il prenait des risques et encaissait une droite, la première en six rounds disputés. Les deux boxeurs échangeaient tête contre tête, le Français plaçait un uppercut puis une droite. Le challenger ne faiblissait pas mais ses attaques demeuraient décousues et surtout il était dangereux en se jetant tête en avant, une attitude qui provoquait un certain agacement côté tricolore. Le champion en titre répliquait, ses coups nets, bien que manquant de puissance, semblaient pouvoir le mettre à l’abri d’une déconvenue. Pourtant rien n’était acquis et l’incertitude régnait quant à l’interprétation des juges, le bras avant du boxeur coaché par Mehdi Oumiha n’empêchait pas son adversaire d’avancer et de délivrer ses larges coups des deux mains. Des frappes brouillonnes qui ne mettaient pas en difficulté Mohamed Kani mais qui auront certainement fait pencher la balance au moment du décompte final. A partir du 6é round, le combat s’était équilibré, avec d’un côté la précision et la technique de Mohamed Kani et de l’autre, la fougue désordonnée mais spectaculaire du challenger. Au 11e round, la coupure du Français saignait de plus belle et le médecin était à nouveau sollicité.

Mohamed Kani contenait les dernières attaques adverses et remisait, le verdict était long à tomber. Le Français s’inclinait par la plus petite des marges, la blessure survenue à la fin du 4e round, alors qu’il maitrisait et dominait le combat, constituant probablement un tournant dans ce championnat EBU Silver.

Retrouvez ci-dessous l'ensemble des résultats des pugilistes professionnels français qui ont combattu lors de ce troisième week-end de janvier 2025.

En welters, Lilia Cherifi (3 v) a battu aux points (60-54, 60-54, 60-54) l’Anglaise Francesca Taylor (5 d).

En super-welters, Pierre Armand (6 v, 2 d, 1 n) s’est imposé aux points (59-55, 59-55, 58-56) devant le Géorgien Luka Tchilauri (9 v, 25 d, 1 n).

En super-moyens, Bilal Kanouni (5 v) a battu l’Anglais Ife Jarrett (11 d) par arrêt de l’arbitre au 3e round.

En welters, Jordy Weiss (33 v, 1 d, 1 n) a mis KO à la 4e reprise le Géorgien Beka Murjikneli (7 v, 34 d, 2 n). Le Lavallois disputait un combat de reprise destiné à le remettre en selle après la perte de son titre Européen au mois d’octobre dernier.

Hassan Amzile (7 v, 2 d, 1 n) a reconquis le titre de champion de France des super-légers en battant aux points (98-92, 98-92, 99-91) Mohamed Drici (6 v, 2 d, 2 n). Compte rendu du combat ICI

En super-coqs, Kaddour Hmiani (5 v, 4 d, 2 n) s’est imposé par décision partagée (56-55, 57-56, 56-57) devant le Géorgien Bacho Jintcharadze (5 v, 16 d, 1 n)

En poids moyens, Maike Garros (2 v, 4 d) a battu aux points (58-56, 58-56, 59-55) Jugurtha Rebahi (5 v, 2 d).

Ce samedi 18 janvier à Meaux, Hassan Amzile (7 v, 2 d, 1 n) est redevenu champion de France des poids super-légers en battant aux points (99-91, 98-92, 98-92) Mohamed Drici (6 v, 3 d, 2 n).

Le Montpelliérain avait remplacé Mohamed Suleiman Kartoum, initialement prévu pour ce championnat qui aurait constitué une revanche entre les deux hommes. Mohamed Drici prenait les choses en main au 1er round, il se montrait agressif et sans complexe pour se porter à l’offensive. Il touchait Hassan Amzile avec sa droite, l’ex champion de France, n’étant pas encore entré dans le combat, était surpris par la fougue de son co-challenger.

L’élève de Gilles Procope corrigeait le tir au second round et Mohamed Drici se heurtait à un problème de distance qu’il ne parvenait pas à résoudre. Hassan Amzile utilisait son direct du bras avant pour le stopper lors de ses tentatives d’approches, sa mobilité lui permettait de mettre dans le vent son adversaire pour ensuite placer de tranchantes contre-attaques avec sa droite. Sa précision et son débit de coups empêchaient Mohamed Drici de s’organiser, il dominait les échanges à distance et même de prés avec son uppercut droit.

Hassan Amzile avait indiqué à son coin qu’il avait mal aux phalanges, il déroulait sans prendre de risques pendant les reprises suivantes, il donnait beaucoup de coups sans rechercher l’efficacité. L’Héraultais ne renonçait pas mais il ne réussissait pas à cadrer son rival qui le touchait des deux mains sous tous les angles. Mohamed Drici était victime d’une hémorragie nasale suite aux nombreux jabs encaissés, un saignement bien géré par son soigneur. Hassan Amzile ne faiblissait pas et restait appliqué et concentré sur sa tactique payante. Le style volontaire de Mohamed Drici le faisait briller, il faisait admirer sa technique et sa vitesse d’exécution. Deux atouts essentiels qui lui valaient d’emporter quasiment tous les rounds à l'exception du premier. Mohamed Drici restait vaillant, il donnait tout ce qu’il pouvait mais il ne parvenait pas à enrayer la belle mécanique d’Hassan Amzile qui recevait des mains de Tony Yoka la ceinture de champion de France.    

L’ex Président du Boxing Club Issoldunois s’est éteint des suites d’une longue maladie à l’âge de 54 ans.

M. Philippe Coelho Da Silva avait été longtemps boxeur amateur au Ring Berruyer à Bourges où il avait disputé une dizaine de combats dans la catégorie des poids lourds. Il avait fait une trêve dans la boxe pour monter une société de plomberie à Issoudun avant de reprendre du service et occuper la présidence du club de la sous-préfecture de l’Indre il y a neuf ans. Il avait passé le relais à la tête du club lors des élections l’année dernière mais il demeurait un membre attaché à la vie du Boxing Club Issoldunois.

M. Coelho Da Siva était apprécié dans sa ville et sa région et sa disparition prématurée plonge dans la tristesse celles et ceux qui l’ont connu.  

Le comité directeur de la Fédération Française de Boxe et son Président M. Dominique Nato, présentent leurs sincères condoléances à la famille et aux amis de Philippe Coelho Da Silva.   

Hier soir à Londres, lors de la cérémonie décernant les trophées du légendaire « The Ring », le jeune Français a obtenu le prix de la catégorie « surprise de l’année ». Il succède à René Jacquot, seul Français à avoir remporté ce prestigieux titre honorifique suite à sa victoire contre Don Curry en 1989.  

Photos ©The Ring

De Michael Buffer à Saul « Canelo » Alvarez en passant par Oleksandr Usyk ou Oscar de la Hoya et tant d’autres super stars, le Old Royal Naval Collège de Londres accueillait le gratin de la boxe mondiale pour ce traditionnel évènement organisé par The Ring Magazine, la référence de la boxe mondiale.

Bruno Surace, qui était nominé pour cette récompense avec cinq autres boxeurs, a été distingué pour son éclatante victoire par KO sur le Mexicain Jaime Munguia au mois de décembre dernier. La performance du provençal a constitué une véritable onde de choc dans le monde de la boxe tant le dernier adversaire de Canelo Alvarez était désigné archi favori du combat. Un magnifique succès qui démontre une énième fois que la boxe est un sport unique où rien n’est jamais écrit à l’avance. Depuis cet exploit, Bruno Surace vit un véritable conte de fées en étant sollicité par tous les médias qui veulent en savoir toujours plus sur ce garçon ô combien méritant. « L’invitation c’était comme mettre un enfant dans un Disney sans avoir à faire la queue, j’ai vu des champions que j’admirais, des champions que je regarde actuellement, j’ai vu des acteurs stratégiques du monde de la boxe ! Mais j’étais invité en tant que l’un d’eux. J’étais reconnu par eux et félicité également. C’était un honneur total d’avoir eu la reconnaissance de mes pairs ce soir. Je suis vraiment honoré et c’est une petite histoire familiale avec mon père qui se retrouve au sommet de la boxe mondiale je n’ai jamais eu la prétention de rêver jusque-là et finalement j’y suis », confie-t-il avec émotion et émerveillement.

Le jeune champion qui a mené de pair des études universitaires avec son activité de boxeur professionnel sait garder les pieds sur terre tout en savourant ces honneurs qu’il a gagné gants aux poings, « il ne faut pas se démobiliser, on vit intensément cette vague médiatique mais l’activité principale, c’est la boxe ». Conclusion d’un champion en devenir qui a mesuré combien la gloire peut être éphémère mais qui travaille d’arrache pieds pour confirmer et pourquoi pas, viser toujours plus haut.

A noter que « Super Brunello » concourrait également pour le trophée du KO de l’année, une récompense finalement attribuée à l’Anglais Daniel Dubois qui a stoppé Anthony Joshua.

Le monde de la boxe est à nouveau en deuil avec la disparition de Mme Semelin qui s’est éteinte le 22 décembre des suites d’une longue maladie à l’âge de 80 ans.

Elle aura œuvré pour la boxe au sein de la Fédération Française où elle occupa pendant de nombreuses années le poste de secrétaire en charge de la boxe professionnelle. Elle avait pris une retraite bien méritée au début des années 2000. « J’ai longtemps travaillé avec Andrée », indique le promoteur Gérard Teysseron. « Je l’ai connue quand j’ai organisé les championnats du monde d’Antoine Montero, puis nous avons collaboré ensemble pour la boxe professionnelle à la fédération. C’était une femme compétente et efficace qui connaissait ses dossiers sur le bout des doigts. Une personne adorable et appréciée dans le monde de la boxe, c’est une grande figure des années fastes de la boxe professionnelle qui disparait, je ressens une profonde tristesse ».

Cette grande dame passionnée de boxe s’impliqua également dans le Noble Art avec d’autres missions, elle fut ainsi membre du comité régional PACA et Présidente du comité départemental du Var où elle avait élu domicile après sa retraite professionnelle. Elle avait aussi officié en tant que chronométreur et déléguée de réunion puis occupé le rôle de Présidente du club BOXE OFFICE 83.

Par ailleurs, Mme Semelin menait des actions avec les diverses associations traitant du social dans son département en collaboration avec le CDOS 83 (Comité Départemental Olympique et Sportif).

Le comité directeur de la Fédération Française de Boxe et son Président M. Dominique Nato, présentent leurs sincères condoléances à la famille et aux amis de Mme Andrée Semelin.

Nous avons appris avec tristesse la disparition de M. Jacques Rémond à l’âge de 78 ans.

Né le 13 juillet 1946, celui qui était connu sous l’affectueux surnom de « Coco » avait été boxeur sous la direction du regretté Roger Thorel à Conflans Sainte Honorine. Il effectua une honorable carrière amateur au cours de laquelle, il participa à plusieurs éditions des championnats de France où il fut finaliste en 1968 dans la catégorie des poids coqs. Pour l’anecdote, Jacques Remond avait confié il y a peu à Amine Mokhtar Benounnane, médecin de la Fédération Française de boxe, qu’il avait battu trois fois Jean-Baptiste Piedvache, référence de la boxe pro tricolore des années 70/80.

Après un passage éclair dans les rangs professionnels, il avait ouvert un club à Pierrelaye où il s’était lancé dans la fonction d’entraîneur avec réussite. Homme passionné par le Noble Art et son enseignement, il était apprécié et connu de tous en Ile de France. M. Remond organisait au moins un gala par an pour ses pugilistes. Il avait exercé le métier de staffeur ornemaniste et était encore à pied d’œuvre dans son club avant d’être rattrapé par la maladie, il y a quelques mois.

Le comité directeur de la Fédération Française de Boxe et son Président M. Dominique Nato, présentent leurs sincères condoléances à la famille et aux amis de M. Jacques Remond.

Retrouvez ci-dessous l'ensemble des résultats des pugilistes professionnels français qui ont combattu lors de ce troisième week-end de décembre 2024.

Khalil El Hadri (20 v, 2 d) a conquis la ceinture WBC Silver des poids super-plumes devant le Panaméen William Vargas (9 v, 5 d) qu'il a battu par arrêt de l'arbitre au 11e round. Compte-rendu ICI

Bilal Jkitou (19 v, 2 d) s'est emparé de la ceinture WBC Silver des poids welters en battant aux points (116-111, 118-110, 118-110) le Mexicain Juan Jose Rodriguez Duran (20 v).

En super-welters, Enzo Marguerite (4 v) s'est imposé aux points (60-54) devant l’Anglais William Smith (7 d, 2 n).

Le poids welters Lounes Zitouni (1 v) a effectué des débuts professionnels victorieux face à l’Anglais Aaron Griffiths (2 d) qu'il a battu par arrêt de l'arbitre au 1er round.

En welters, Madzakan Movsesyan (2 v) a mis ko au 2e round le Géorgien Mikheil Gabinashvili (9 v, 46 d, 3 n).

En moyens, Joachim Elkaim (5 v, 13 d, 5 n) David Afonso Pereira (5 v, 22 d, 1 n).

En welters, Amin Benchia (6 v, 1 d) a battu aux points (60-54, 60-54, 60-54) le Mongol Bazargur Jugder (15 v, 38 d, 4 n).

En super-welters, Marceau Pourrier (6 v, 1 d) a battu aux points (60-54, 59-55, 59-55) Bakary Diarassouba (1 v, 5 d).

En mouches, Nicolas Virassamy (2 v) s'est imposé aux points (60-54, 58-56, 58-56) devant Nathan Yu Chak (3 v, 1 d).

En super-plumes, Mayson Creygolles (5 v, 1 n) a battu le Colombien Jason Cervantès (14 v, 38 d, 1 n) par arrêt de l'arbitre à la 3e reprise.

En lourd-légers, Lenny Patrach (2 v) a battu aux points (40-35, 40-35, 40-35) Antony Silvestri (1 v, 1 d).

En coqs, Francis Don Navarro (3 v) a battu l’Anglais Callum Goodison (2 d) par KO au 1er round.

En super-welters, Hugo Morel (10 v) s'est imposé par arrêt de l'arbitre au 3e round devant le Colombien Ruben Angulo (14 v, 9 d, 2 n).

Photo ©Jean-Yves Lemarchand

Sofiane Khati (17 v, 5 d) a conservé son titre de champion de France des poids moyens en battant Noel Lafargue (10 v, 3 d, 2 n) par arrêt de l'arbitre au 4e round. Compte rendu à lire ICI

En poids moyens, Alvin Zeffou Poaty (3 v) a battu le Géorgien Malkhaz Gelenidze (4 d) par ko au 1er round.

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